Mercredi 10 mars 3 10 /03 /Mars 15:51
GILLES, MON PATRON

Salut, je m’appelle Marc, je suis un homme assez ordinaire, comme la plupart des gens quoi ! J’ai un boulot, je bosse comme comptable pour une grosse firme ; vous savez je suis le genre de type qui n’a pas le temps de rencontrer personne, car ma vie c'est avant tout LE BOULOT. Pourtant, j’ai déjà eu une copine, mais comme que je travaille 60 heures semaine, elle s'est cassée rapidement. Vous vous demandez peut-être pourquoi vous lisez la lettre d’un mec hétéro sur une forum homosexuel ? J’y arrive, je vous demanderais d’être patient, je vais tout vous avouer. Vous voyez, mon patron, Gilles, c'est le genre de mec hyper friqué, il a une table de bronzage et un gym dans sa résidence, à vrai dire, il est plein aux as ! Évidemment, il est musclé et bronzé, car il peut tout faire de la maison. Bref, je l’enviais un peu, surtout que lui a une vraie famille, contrairement à la mienne que j’ai inventée de toutes pièces pour qu’on arrête de me questionner et de me regarder comme si j’étais le dernier des ratés. De plus, Gilles est dans la quarantaine, marié, trois enfants mignons comme tout. Il a mis une photo d’eux sur son bureau pour énerver tous ses employés qui bossent trop dur, qui n’ont pas le temps de faire des rencontres et par conséquent d’avoir des gamins ! C’est pas que je le déteste, non au contraire je dirais plutôt que je l’envie… Voici maintenant l'aventure que je voulais vous raconter…

Vendredi midi, je compte quitter le bureau tôt pour rejoindre des amis dans le sud de la France, je voulais passer le week-end dans une petite maison de campagne, loin de mon boulot, loin de mes collègues, bref vous savez, faire la trêve de la vie métropolitaine. Je regarde l’horloge, elle m’indique que je quitterai le bureau bientôt, mais mon téléphone sonne. Je réponds, c’est mon patron, il me fait venir à son bureau. Je me demande vraiment ce qu’il peut bien me vouloir, une heure avant mon départ. J’entre et il me signifie de fermer la porte derrière moi. Je comprends à l’instant qu’il m’a appelé pour quelque chose de sérieux.

- Je souhaite que tu rejoignes notre autre bureau pour une formation ce week-end, me lance-t-il aussitôt qu’il entend le claquement de la porte.
- Ce week-end ? dis-je sans trop réaliser que je venais de ronchonner.
- Oui, je ne te le demande pas pour te pourrir la vie, j’y serai aussi, j’ai seulement besoin d’un partenaire pour m’aider et je t’ai choisi parce que je peux te faire confiance.

Me faire confiance, il me prend par les sentiments, je n’ai alors vraiment pas d’autres choix que d’accepter. Il me dit que nous devons nous rendre là-bas ce soir, il a loué deux chambres, car les formations commenceront le lendemain assez tôt. Par contre, lui doit rester dimanche et moi je pourrai repartir rejoindre mes amis, donc nous prendrons chacun notre voiture pour le déplacement. Je quitte alors le bureau pour faire ma valise. MAUDIT SOIT MON PATRON… Dire que mon cousin devait me présenter une fille ce soir, je vais encore rater l’occasion de connaître une chic fille et de peut-être avoir une vie différente de celle qui tourne autour de mon boulot.. Merde ! Et tout cela est de la faute de qui encore ? GILLES !

Finalement, je pars en direction de la ville où nous devons passer la nuit avant de commencer les formations le samedi. Comme j’ai pris beaucoup de temps pour ranger mes trucs, compte tenu que je ne crois pas retourner à la maison avant d’aller rejoindre mes amis, question de gagner un peu de temps, je quitte la ville alors qu’il commence à faire nuit. Je suis alors épuisé et je vois un arrêt routier près de l’autoroute, je prends la brettelle de sortie, histoire de faire un arrêt aux chiottes avant de continuer la route. Je gare la voiture et j’aperçois au même moment une automobile pareille à celle de Gilles. Comme il fait déjà très sombre et qu’elle est garée dans le noir, je marche dans sa direction pour vérifier si tout va bien. Peut-être est-il en panne ? Je m’approche de l’auto et je peux percevoir des mouvements à l’intérieur, peut-être s’est-il assoupi tandis qu’il voulait faire une pause ? Mais non, il a la tête dirigée vers le plafond de la voiture et il a la bouche ouverte. Je m’approche encore plus, car je ne comprends pas ce qui se déroule. Mais plus je marche plus je commence à avoir un doute en ce qui concerne sa détresse. Je vois alors qu’il n’est pas seul, comme je suis dans la pénombre, je m’immobilise dans le but de rester caché, je veux examiner encore un peu la scène. Je réalise qu’il y a quelqu’un qui est penché sur lui. Le coquin est en train de se faire tailler une pipe. Oh là là ! Je crois que j’arrive à la fin, car la portière ouvre et la personne qui était penché sur lui sort. Elle a les cheveux courts cette femme. Oh ! C’est un mec…

Je suis abasourdi, mon patron trompe sa femme avec des mecs. Mais je ressens aussi autre chose… Encore de l’envie peut-être ? Ça y est, je comprends maintenant, je crois que je craque pour mon patron. C’est le désir de baiser avec mon patron que je ressens !! J’essaie de m’en dissuader, mais en vain. Je cours me réfugier à l’intérieur du bâtiment et je vais dans les chiottes pour me ressaisir, ou plutôt pour saisir l’érection qui déchire mon froc. J’entre et l’endroit est complètement désert. Je ne comprends pas ce qui m’arrive, mais je décide de me soulager en pensant à la scène dont j’ai été le spectateur, de toute façon, je ne vois pas ce que je pourrais faire de plus.

- Hé ! Marc ! Me dit une voix provenant du seuil de la pièce.
- Oui ? Gilles ? réponds-je en sachant très bien que c’est lui.

J’arrête de m’astiquer le manche et je fais semblant de faire ce que je suis supposé faire, car je suis devant une urinoir. Cependant, il s’approche de moi et je ne peux pas cacher mon érection.

- Tu as tout vu, me dit-il avant même de voir mon sexe bien dur.
- Oui effectivement.

Il avance vers moi et il comprend ce que j’étais en train de faire, car j’ai la bite dans la paume de ma main pointé vers le haut.

- Le mec dans ma voiture était seulement un pauvre type, j’ai du le foutre à l’extérieur car il suçait comme une merde…
- Je ne dirai rien, je vous promets ! Vous pouvez compter sur moi.
- Assurément que tu ne diras rien, car tu vas y goûter toi aussi, et à ce que je vois tu es déjà prêt. D’une certaine façon, on peut dire que tu deviendras mon complice !

Un complice, il parlait de quoi exactement. Nous n’allions pas faire un meurtre tout de même. Il verrouille la porte et me demande de me retourner. Il se met à genoux (je vous rappelle que c’est mon patron ) et prend ma bite entre ses mains. Il commence à me la caresser doucement et ensuite plus rapidement. Il approche ensuite sa bouche de mon pénis et il engloutit la plus grande partie de mon membre. Il encercle ce qui ne peut entrer avec sa main. Il fait entrer mon pénis entre ses lèvres tout en faisant un léger mouvement circulaire. J’adore ce qu’il me fait, à voir la façon dont il caresse ma verge, ce n’est pas la première fois. Ensuite, il descend son slip et me dit que je peux faire ce que je veux. Je n’avais jamais essayé avec un mec, mais j’avais toujours envié mon patron et il est vraiment beau garçon pour son âge, alors pourquoi pas. Je suis tellement bandé que je ne pourrais pas refuser une offre comme celle-ci. Je me questionne alors sur ce que je m’apprête à faire, c’est-à-dire sodomiser un mec, je réalise alors que si je suis toujours célibataire, ce n’est peut-être pas pour rien. Il me dit que je dois tout d’abord l’exciter et lui dilater l’anus. Comme je suis encore nouveau dans le domaine, Gilles m’explique comment. Je lui donne de légers coups de bite sur les fesses et je mets un doigt dans son fion, doucement. Puis, je décide enfin de lui mettre ma bite au cul. Il est voûté et il a les deux mains sur le mur. J’y vais lentement, car j’ai peur de le blesser. Finalement, j’y prends goût assez rapidement et je le tringle de plus en plus fort. Je mets ma main sur sa pine, un peu par curiosité, mais finalement je constate qu’elle est vraiment dure. Je la masse lentement, j’harmonise mes mouvements de bassin avec ceux de ma main. Mon pal entre et ressort rapidement de son anus tout ridé. Je regarde ce mouvement et je dois me retenir pour ne pas éjaculer maintenant. Il gémit tout en me répétant que je peux y aller encore plus fort. J’adore vraiment défoncer l’anus de mon patron…

On frappe à la porte…

- Putain de merde, qu’est-ce que vous faites, ça fait une dizaine de minutes que j’attends pour aller aux chiottes.
- Un instant !
- Si vous ne sortez pas bientôt, je vais défoncer…

Je me retire immédiatement, mais Gilles, me dit de continuer, car il n’a pas encore atteint l’orgasme et sans cela il ne sort pas. J’augmente le rythme de mes mouvements, je ne veux vraiment pas me faire prendre par le mec qui cogne à la porte.

La porte s’ouvre, je ne sais pas de quelle façon, mais une grosse brute entre, tandis que j’ai le pieu enfoncé au plus profond de mon patron… Je n’ose plus bouger et Gilles aussi d’ailleurs, vu la carrure du mec qui vient d’entrer.

- Bordel qu’est-ce que vous osez faire dans mes chiottes ?
- Eh, hum, rien, bien, en fait…
- Vous allez payer sales vicieux !

Nous croyons à l’instant que nous allons avoir la fessée de notre vie. À ma grande surprise. Le mec sort sa bite, elle est gigantesque !

- Hé, toi, le mec en costard, suce ma bite ! dit-il à Gilles avec une voix grave et une teinte d’insolence.
- Oui ! Oui! répond Gilles qui bande encore plus dur.

Il se met devant Gilles qui empoigne fermement sa bite. Il le suce beaucoup plus violemment que moi. Le mec semble en avoir vu beaucoup d’autres mecs baiser dans ses chiottes. Après sa bonne pipe cochonne, il se déplace derrière moi.

- Allez, c’est à mon tour de lui défoncer le cul, laisse faire les grands…

Je me retire aussitôt et je retourne vers Gilles, qui se mordille les lèvres de bonheur et d’excitation, il agrippe ma queue et la remet dans sa bouche. Je me retire, car je ne peux plus me retenir et je ne veux quand même pas gicler dans la bouche de mon patron… Les mecs terminent leur baise tandis que moi je sors de la pièce.

Je n’ose pas me sauver, mais je ne veux pas nécessairement discuter avec Gilles. Je l’attends à l’extérieur et lorsqu’il sort, il ne fait que me donner une tape sur l’épaule.

- Tu sais tu n’es pas le premier employé que je baise… Mais disons que depuis ton prédécesseur, il n’y a eu personne. Alors maintenant tu auras des formations à tous les mois. Félicitations, tu deviens mon protégé.

Je ne suis pas certain de comprendre ce qu’il veut dire par protégé…

Par chance59 - Publié dans : Les secrets entre mecs - Communauté : Mes Récits Hérotiques
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