Mercredi 10 mars
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HARD SODO SOUS LA PLUIE
Salut les mecs ! Il faut à tour prix que je vous raconte l’une de mes dernières sauteries. C’était génial et plutôt hard. Deux mots sur
moi avant de commencer. Je m’appelle Christophe mais pour mes potes, je suis Chris. J’ai 26 balais, j’habite à Bordeaux et je bosse comme serveur dans un restaurant assez clean. Je suis brun,
mignon, assez bien foutu, 1 mètre 81 pour 74 kilos avec une belle teub épaisse entre les cuisses. Courte mais large ( 17 cm x 6 cm ). J’ai de belles couilles et j’ai besoin de me les vider tous
les jours.
Je baise avec des keums depuis l’âge de 18 ans. Je suis actif et j’adore me faire des petits culs bien serrés. À Bordeaux, ça ne manque pas… J’aime les plans directs avec des types pas coincés et
au look viril. Je peux être très vicieux, dominateur même. Question trips, je n’ai pas de tabou et quand je tombe sur une bonne salope qui est branchée à mort sur le cul, c’est le pied ! Les
présentations faites, je vais maintenant vous parler de cette super baise. C’était, il y a deux semaines. J’étais en congé et je suis allé passer quelques jours chez mes parents qui habitent près
de Berjerac, en Dordogne. Ils ne savent pas trop la vie que je mène. Ma mère s’en doute un peu, je crois, mais lorsque je suis là-bas, je reste très discret sur ma vie privée et je me contente de
me branler discrètement dans ma chambre. Je ne me sens pas encore le courage de faire mon coming-out. Un jour, peut-être…
Lors de mon dernier séjour en Dordogne, je n’ai pas pu m’empêcher de prendre ma moto et d’aller à Bergerac pour tenter de trouver un mec à tirer. J’avais pas baisé depuis quatre jours et je me
tenais une sacrée gaule. Je me serais enfilé le premier type venu. Gros, vieux, moche… N’importe qui du moment qu’il ait un cul avec une bite et une paire de couilles par-devant... C’était en
plein après-midi, au milieu de la semaine. Le temps était couvert et je suis allé dans un premier bar. Je n’ai trouvé personne. J’en ai fait un second et là, j’ai tout de suite repéré un joli
petit cul moulé dans un jean serré. Le mec faisait une partie de flipper. Visiblement, il était seul et la vision de sa belle croupe n’a fait que renforcer mon envie de me taper quelqu’un.
J’ai commandé un demi et je suis allé le brancher. Il avait à peu près mon âge : brun, mignon de gueule, tout à fait mon genre. Je l’ai regardé jouer tout en discutant avec lui. Et là, j’ai vite
senti qu’il était homo. On s’est amusé un petit moment à : "Je te cherche, tu me cherches… " jusqu’à ce que je lui propose un petit tour sur ma bécane. On n’est pas allé très loin. À la sortie de
Bergerac, j’ai pris le premier sentier qui s’éloignait de la route pour se perdre dans la forêt. Manque de bol, c’est là qu’il a commencé à pleuvoir, une pluie fine alors que le temps était très
doux.
Je ne pouvais pas le ramener chez mes parents et lui non plus, n’avait pas de piaule à lui pour m’accueillir. Alors, nous sommes restés sous la pluie. Il s’appelait Thibaut et c’est lui qui a
commencé à m’embrasser. Je le sentais aussi excité que moi. Quand je lui ai demandé :
- Tu te trouves souvent, dans le coin ?
Il m’a répondu :
- C’est plutôt rare.
Sa pine était déjà hyper raide sous son froc. Je l’ai palpée un moment, à travers sa braguette et j’ai fini par lui mettre le zob et les couilles à l’air. J’ai continué à bien le palucher alors
que Thibault restait accroché comme une sangsue à mes lèvres, me roulant pelle sur pelle. À présent, nous avions les cheveux trempés mais il ne faisait pas froid. J’ai pris sa main pour qu’il
libère ma queue puis j’ai appuyé sur ses épaules pour qu’il s’agenouille devant moi et me pompe. Finalement, c’était délicieux de se faire sucer le nœud sous cette pluie fine.
Thibault malaxait mes burnes tout en avalant mon gourdin. Il était doué pour les pipes et moi, l’excitation montant de plus en plus, j’ai commencé à perdre la tête. Je l’ai insulté :
- Oui, suce-la bien, salope. Après ta bouche, c’est ton cul que je troncherai. Je vais te bourrer comme une vraie garce ! Comme une grosse pute ! Hein, que t’es une vraie putain à mecs ?
Je lui donnais des ordres, l’obligeant à me bouffer les couilles et à bien s’appliquer. Il pleuvait un peu plus fort quand j’ai baissé mon cuir à mi-cuisses et que je lui ai présenté mon trou du
cul en écartant bien mes fesses avec mes mains. J’adore me faire titiller le fion par une langue vicieuse. Thibault m’a léché dans toute la raie avant de pointer sa langue sur ma rosette. Je lui
ai demandé de me laver le cul en profondeur et ce salaud me poussait à me montrer encore plus cru avec lui. Je l’ai traitée de pouffiasse, de truie, de trou à bite, de sac à foutre…
Au bout d’un moment, j’ai voulu l’enculer. Il a descendu son jean jusqu’aux chevilles et il s’est mis à quatre pattes dans l’herbe mouillée et boueuse, creusant ses reins comme une vraie femelle
en rut qui attend pour être saillie. Je ne l’ai pas tout de suite enfilé. J’ai caressé et claquer ses fesses musclées, j’ai ouvert son fion avec mes doigts, j’ai tiré sur ses couilles… Voir son
trou du cul entièrement offert avec la rosette brunâtre et plissée, entourée de quelques poils noirs, me faisait triquer comme un âne. En fouettant sa raie avec ma pine, je lui ai lancé :
- Tu vas voir, je vais bien te la niquer, ta chatte de mec !
J’ai approché le bout de ma tige de son trou et j’ai essayé de l’emmancher. Thibault s’est mis à gémir :
- Hey ! Doucement, tu me fais mal… Elle est très grosse !
En même temps que j’avançais dans son cul, je le sentais forcer avec son cul pour mieux me l’ouvrir. Il a poussé un cri au passage du gland. Je me suis arrêté et j’ai attendu que sa rondelle soit
plus dilatée pour m’enfoncer encore. Je lui tenais les miches bien écartées pour regarder ma tige lui élargir le fion. Je me suis introduit à fond et je l’ai enculé avec des va-et-vient assez
lents pour débuter. Je ressortais jusqu’à l’extrémité du gland avant de revenir jusqu’à la garde. Son fourreau comprimait bien ma tige sur toute sa longueur. Thibault ne cherchait pas à retenir
ses cris de plaisir et de douleur mêlés. Par moments, il me suppliait d’y aller doucement mais à d’autres, il m’encourageait à le baiser encore plus fort :
- Oui, vas-y ! Défonce-moi le cul. C’est tellement bon !
Et il se mettait à remuer des hanches pour accompagner mes coups de reins. J’étais hors de moi. Me farcir ce joli cul dans la boue me mettait une trique d’enfer. Thibault en avait de partout. Je
l’ai limé de toutes mes forces, l’obligeant à s’étendre de tout son long sur le sol. Je lui criais :
- T’aimes ça hein, salopard, te faire piner comme une pute. Dis-le que tu n’es qu’une grosse putasse.
Et il me répondait sur le même ton :
- Oui, je suis une vraie putain. Une salope…
Cette fois, il pleuvait à torrents sur nous. J’ai donné encore quelques coups de reins et j’ai explosé. Ca faisait un bien fou de jouir et de se vider les couilles. Thibault n’a pas joui avec
moi. Il a attendu que je finisse et il s’est remis à quatre pattes alors que j’étais encore planté entre ses fesses. J’ai glissé une main entre ses cuisses et je l’ai branlé pendant qu’il
bougeait sur mon pieu encore raide et s’enculait tout seul jusqu’à ce qu’il jute à son tour. Nous étions vraiment crades et couverts de boue quand nous avons repris ma moto. Avant de rentrer chez
moi, je suis allé nettoyer un peu mes fringues dans les chiottes d’un bar et désormais, quand j’irai revoir mes parents, je sais où trouver un mec à baiser. Ça, c’est plutôt sympa surtout que ce
Thibault en question, c’est vraiment un très bon coup.

Par chance59
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Publié dans : Ma Lettre Gay
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