Mercredi 10 mars 3 10 /03 /Mars 15:53
LE VESTIAIRE

Gilles et François reprenaient peu à peu leur souffle dans le vestiaire des hommes. Bien qu’ils soient particulièrement en forme pour des hommes de leur âge, le match de tennis endiablé qu’ils venaient de se disputer sur le court intérieur du gymnase les avaient laissés haletants. Plus qu’à l’habitude, leur rivalité amicale, les avaient amenés à se dépenser jusqu’à la limite de leurs capacités. Tous deux s’y étaient donnés à 110 % et s’étaient surpassés dans cette lutte pour la victoire, qui cette fois-ci était allée à Gilles. Grâce aux trois aces réussis en début de partie, il était parvenu à arracher une victoire à son copain pour une des rares fois de leurs affrontements. François, bon perdant, n’en mettait pas moins pour autant et lui soulignait.

- Une chance que tu m’as surpris à froid en début de partie, sinon tu ne serais jamais parvenu à me vaincre. Mais, encore une fois, bravo ! Tu as su profiter de ma faiblesse, lui confia-t-il humblement, pendant qu’il tentait péniblement de retrouver son souffle.
- Fallait bien que je mette toutes les chances de mon côté, lui avoua Gilles, en toussotant. Je me demande bien ce que nos femmes ont fait cet après-midi, souleva-t-il avant de retirer son gaminet complètement trempé de sueur et de le jeter à ses pieds.
- Comme d’habitude, j’imagine qu’elles se sont envoyées en l’air avec le jeune jardinier de Louise et Paul, lança François à la rigolade.
- Tu sais quoi ? Paul m’a avoué qu’il fréquentait des clubs d’échangistes avec Louise depuis quelques mois. Te serais-tu imaginé ça ? Lui murmura Gilles sur le ton de la confidence.
- Hein ? T’es sérieux ? Je savais Paul capable de ça, mais je n’aurais jamais cru que Louise soit aussi... ouverte, finit par dire François, un peu hésitant.
- Eh oui ! Comme quoi, on ne peut jamais être tout à fait certain de ce que l’on croit de nos proches, enchaîna Gilles en ricanant.

Puis, les deux hommes finirent de se dévêtir avant d’aller sous la douche. Comme ils savaient tous deux qu’il n’y avait personne d’autre dans l’établissement, à part le gardien, ils pouvaient prendre tout leur temps. Aussi, ne se pressaient-ils pas, déambulant complètement nus à travers les corridors du vestiaire.

- Je me demande bien comment ça peut se passer dans un club échangiste. Je ne sais pas comment je réagirais en voyant Colette se faire prendre par d’autres hommes, confia Gilles à son ami.
- C’est drôle que tu me parles de ça... Jeanne m’en a aussi parlé pas plus tard qu’hier. T’en fais pas. Dis-toi bien que d’autres femmes se chargeraient bien de te changer les idées, rigola François avant de se plonger sous le jet d’eau chaude et fumante.
- Ouais, t’as bien raison. Je suis juste curieux. J’ai lu quelques articles de journaux sur le sujet récemment. Mais, avoues que ça doit faire bizarre de savoir que sa femme prend son pied avec d’autres hommes, ajouta Gilles, avant de se glisser sous la douche à son tour.
- Ben voyons Gilles, tu ne vas pas me dire que tu n’as jamais rêvé, même secrètement, de faire l’amour à plusieurs avec Colette. Avec une si belle femme, il ne faudrait pas t’étonner qu’elle attise tous les hommes autour, lui répondit-il.
- Et toi ? Tu vas me dire mon salaud que tu as déjà eu envie de baiser ma femme ? Rigola Gilles.
- Bien sûr ! Ça m’est déjà passé par l’esprit, mais je n’aurais jamais osé. Sinon qu’avec ton consentement, continua François sur le même ton badin.
- Ouais ! Ouais ! Vieux cochon ! Dis-moi, crois-tu que durant les partouzes des clubs d’échangistes, les hommes le font aussi entres eux ? Demanda soudainement Gilles, un peu gêné.
- Mais pourquoi me poses-tu cette question ? T’as des idées mon cochon ? Se contenta de répondre François d’un ton qui feignait le détachement.
- Je me demande tout simplement ce qu’on peut ressentir dans de telles circonstances, voilà tout ! Conclut Gilles en se savonnant la poitrine.

Mais, dans son esprit se bousculaient un tas d’images mentales. En fermant les yeux, il s’imaginait entouré de couples dénudés, en pleine action d’échangisme. Des images orgiaques qui eurent tôt fait de lui procurer une formidable érection. Il voyait tous ces pénis bandés durs qui coulissaient tantôt dans des bouches, tantôt dans des anus et toutes ces visions l’excitaient terriblement. Dans ses songes, il voyait même des hommes qui se procuraient du plaisir entre eux et, loin de le troubler, cela l’excitait un maximum. Ces fantasmes homosexuels étaient nouveaux pour lui, mais contre toute attente, ils l’émoustillaient beaucoup. Les yeux mi-clos sous le jet d’eau, il s’y laissait aller avec un plaisir certain.


François, tout juste à côté, sous la douche commune s’en était bien aperçu et décida de passer à l’action. Lui aussi ressentait le désir grandissant d’expérimenter ce nouveau fantasme et l’occasion lui en semblait idéale. Personne ne pouvait les surprendre et il était convaincu que Gilles répondrait favorablement. Alors, il osa un premier geste. Apercevant la formidable érection que son ami arborait, il tendit la main et flatta d’abord la hanche de son copain. Surpris, Gilles ouvrit les yeux et regarda François, puis lui sourit en baissant les yeux vers le sol.

- Je sens bien que tu en meurs d’envie. Tout comme moi d’ailleurs. Me permets-tu ? Lui demanda simplement François.

Voyant que son ami ne répondait pas et qu’il avait refermé les yeux, François comprit qu’il obtenait le plein consentement de Gilles. Il s’enhardit alors et tendit la main pour attraper ce sexe durci qui faisait son envie. Un pénis plus gros et plus large que le sien, circoncis avec un gland tout reluisant. Tout comme Gilles, François n’avait jamais connu d’expériences homosexuelles avant. Mais, d’une nature curieuse et aventureuse et d’une grande ouverture d’esprit côté sexe, il s’était toujours demandé ce que ça pouvait être que de faire l’amour entre deux hommes. L’occasion d’assouvir ce nouveau fantasme se présentait à lui et il entendait bien en profiter et aller jusqu’au fond du sujet. Il fit d’abord coulisser lentement le gland mouillé de son ami dans la paume de sa main, puis constatant qu’il se laissait aller à ses caresses, il accéléra le rythme. Les yeux toujours clos, l’eau ruisselant sur son corps qui se tendait sous l’excitation, Gilles gémissait d’un nouveau plaisir jusqu’alors insoupçonné tandis que François s’activait avec d’autant plus de vigueur qu’il constatait que son copain s’y laissait aller de bon gré.


Puis, il osa pousser encore plus loin l’audace, et se pencha pour prendre ce pénis, qui le fascinait de plus en plus, dans sa bouche. Il fit d’abord glisser le gland entre ses lèvres, puis l’engouffra dans sa gorge en tournoyant sa langue tout autour. Gilles poussait de profonds râlements de plaisir tandis qu’il s’affairait à le sucer. De son côté, François appréciait la sensation nouvelle du gland mouillé de Gilles qui coulissait sur sa langue et entre ses lèvres devenues avides. Tout en continuant de le sucer, il lui caressait les testicules et la région pelvienne d’une main agile. Gilles semblait apprécier au plus haut point les caresses de son copain et il s’y abandonnait complètement.


François se releva alors et, se retournant en s’appuyant des deux mains sur le mur de la douche, s’arquant le dos pour offrir son bassin, il fit comprendre à Gilles qu’il souhaitait se faire sodomiser. D’abord surpris par une telle proposition, Gilles accéda néanmoins à sa demande et, se positionnant derrière lui, commença par faire glisser son gland mouillé entre ses fesses. Un peu craintif de lui provoquer une certaine douleur en le pénétrant à sec, Gilles hésitait encore.

- Allez, encules-moi solidement, tu en meurs d’envie je le sais. Jeanne m’enfile souvent son gode pour m’exciter, alors je suis habitué. Ce n’est pas nouveau pour moi, crois-moi, lui avoua François, pressé de sentir son pieu l’enfiler.
- Hummmm... T’es plus avancé que moi en la matière mon cochon. Alors, d’accord, prépares-toi, se contenta de lui lancer Gilles avant de pousser son gland contre son anus et de le faire glisser jusqu’au fond, arrachant un râle à son copain.

En le tenant par les hanches, Gilles se faisait aller dans l’anus de son copain. Son sexe tendu coulissait dans le rectum de son meilleur ami et il en éprouvait un plaisir inouï, qu’il n’aurait jamais soupçonné. Il ne se croyait pas pour autant devenu homosexuel mais le fait de se livrer à ces nouveaux fantasmes lui injectait une dose nouvelle d’excitation sexuelle qu’il n’aurait jamais soupçonné auparavant. Il se voyait là, les mains solidement agrippées au bassin de son copain, la bite se faisant aller et venir dans son cul, celui-ci se tordant d’un plaisir évident, prêt à éjaculer en lui. Accélérant le rythme, il le sodomisait maintenant avec une vigueur sans retenue. Son copain s’était penché plus bas, les mains posées sur le sol, lui donnant un meilleur accès à ses reins. L’eau ruisselait sur leurs corps tendus par les spasmes de la jouissance qui approchait. Tandis que Gilles l’enculait à grands coups, François se masturbait avec une frénésie décuplée. Les deux amis approchaient du paroxysme. Sentant le pénis de Gilles vibrer dans son anus, prêt à éjaculer en lui, François se détendit et poussa un profond soupir. Du coup, son copain l’inonda d’un jet de foutre chaud.


Ensemble, ils venaient de partager une première expérience homosexuelle et s’en trouvaient tous les deux pleinement comblés. Après avoir découvert un tel plaisir, les deux hommes savaient qu’ils n’hésiteraient pas à répéter l’expérience. Ils venaient de passer à une nouveau stade de leur sexualité et l’assumaient pleinement, sans aucun ressentiment. Bien au contraire, ils éprouvaient une certaine gratitude mutuelle de s’être permis de vivre ce fantasme. Désormais, un lien indéfectible les uniraient à jamais.


Après avoir repris leurs esprits, les deux hommes se dévisagèrent, puis éclatèrent d’un fou rire incontrôlable. En se rhabillant, ils se promirent qu’à la première occasion, ils en profiteraient pour entraÎner leur ami Paul avec eux... Riant à belles dents, les deux hommes quittèrent le vestiaire, devenus par la force des choses d’inséparables copains, unis à tout jamais.
Par chance59 - Publié dans : Gay - Communauté : Mes Récits Hérotiques
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mercredi 10 mars 3 10 /03 /Mars 15:51
GILLES, MON PATRON

Salut, je m’appelle Marc, je suis un homme assez ordinaire, comme la plupart des gens quoi ! J’ai un boulot, je bosse comme comptable pour une grosse firme ; vous savez je suis le genre de type qui n’a pas le temps de rencontrer personne, car ma vie c'est avant tout LE BOULOT. Pourtant, j’ai déjà eu une copine, mais comme que je travaille 60 heures semaine, elle s'est cassée rapidement. Vous vous demandez peut-être pourquoi vous lisez la lettre d’un mec hétéro sur une forum homosexuel ? J’y arrive, je vous demanderais d’être patient, je vais tout vous avouer. Vous voyez, mon patron, Gilles, c'est le genre de mec hyper friqué, il a une table de bronzage et un gym dans sa résidence, à vrai dire, il est plein aux as ! Évidemment, il est musclé et bronzé, car il peut tout faire de la maison. Bref, je l’enviais un peu, surtout que lui a une vraie famille, contrairement à la mienne que j’ai inventée de toutes pièces pour qu’on arrête de me questionner et de me regarder comme si j’étais le dernier des ratés. De plus, Gilles est dans la quarantaine, marié, trois enfants mignons comme tout. Il a mis une photo d’eux sur son bureau pour énerver tous ses employés qui bossent trop dur, qui n’ont pas le temps de faire des rencontres et par conséquent d’avoir des gamins ! C’est pas que je le déteste, non au contraire je dirais plutôt que je l’envie… Voici maintenant l'aventure que je voulais vous raconter…

Vendredi midi, je compte quitter le bureau tôt pour rejoindre des amis dans le sud de la France, je voulais passer le week-end dans une petite maison de campagne, loin de mon boulot, loin de mes collègues, bref vous savez, faire la trêve de la vie métropolitaine. Je regarde l’horloge, elle m’indique que je quitterai le bureau bientôt, mais mon téléphone sonne. Je réponds, c’est mon patron, il me fait venir à son bureau. Je me demande vraiment ce qu’il peut bien me vouloir, une heure avant mon départ. J’entre et il me signifie de fermer la porte derrière moi. Je comprends à l’instant qu’il m’a appelé pour quelque chose de sérieux.

- Je souhaite que tu rejoignes notre autre bureau pour une formation ce week-end, me lance-t-il aussitôt qu’il entend le claquement de la porte.
- Ce week-end ? dis-je sans trop réaliser que je venais de ronchonner.
- Oui, je ne te le demande pas pour te pourrir la vie, j’y serai aussi, j’ai seulement besoin d’un partenaire pour m’aider et je t’ai choisi parce que je peux te faire confiance.

Me faire confiance, il me prend par les sentiments, je n’ai alors vraiment pas d’autres choix que d’accepter. Il me dit que nous devons nous rendre là-bas ce soir, il a loué deux chambres, car les formations commenceront le lendemain assez tôt. Par contre, lui doit rester dimanche et moi je pourrai repartir rejoindre mes amis, donc nous prendrons chacun notre voiture pour le déplacement. Je quitte alors le bureau pour faire ma valise. MAUDIT SOIT MON PATRON… Dire que mon cousin devait me présenter une fille ce soir, je vais encore rater l’occasion de connaître une chic fille et de peut-être avoir une vie différente de celle qui tourne autour de mon boulot.. Merde ! Et tout cela est de la faute de qui encore ? GILLES !

Finalement, je pars en direction de la ville où nous devons passer la nuit avant de commencer les formations le samedi. Comme j’ai pris beaucoup de temps pour ranger mes trucs, compte tenu que je ne crois pas retourner à la maison avant d’aller rejoindre mes amis, question de gagner un peu de temps, je quitte la ville alors qu’il commence à faire nuit. Je suis alors épuisé et je vois un arrêt routier près de l’autoroute, je prends la brettelle de sortie, histoire de faire un arrêt aux chiottes avant de continuer la route. Je gare la voiture et j’aperçois au même moment une automobile pareille à celle de Gilles. Comme il fait déjà très sombre et qu’elle est garée dans le noir, je marche dans sa direction pour vérifier si tout va bien. Peut-être est-il en panne ? Je m’approche de l’auto et je peux percevoir des mouvements à l’intérieur, peut-être s’est-il assoupi tandis qu’il voulait faire une pause ? Mais non, il a la tête dirigée vers le plafond de la voiture et il a la bouche ouverte. Je m’approche encore plus, car je ne comprends pas ce qui se déroule. Mais plus je marche plus je commence à avoir un doute en ce qui concerne sa détresse. Je vois alors qu’il n’est pas seul, comme je suis dans la pénombre, je m’immobilise dans le but de rester caché, je veux examiner encore un peu la scène. Je réalise qu’il y a quelqu’un qui est penché sur lui. Le coquin est en train de se faire tailler une pipe. Oh là là ! Je crois que j’arrive à la fin, car la portière ouvre et la personne qui était penché sur lui sort. Elle a les cheveux courts cette femme. Oh ! C’est un mec…

Je suis abasourdi, mon patron trompe sa femme avec des mecs. Mais je ressens aussi autre chose… Encore de l’envie peut-être ? Ça y est, je comprends maintenant, je crois que je craque pour mon patron. C’est le désir de baiser avec mon patron que je ressens !! J’essaie de m’en dissuader, mais en vain. Je cours me réfugier à l’intérieur du bâtiment et je vais dans les chiottes pour me ressaisir, ou plutôt pour saisir l’érection qui déchire mon froc. J’entre et l’endroit est complètement désert. Je ne comprends pas ce qui m’arrive, mais je décide de me soulager en pensant à la scène dont j’ai été le spectateur, de toute façon, je ne vois pas ce que je pourrais faire de plus.

- Hé ! Marc ! Me dit une voix provenant du seuil de la pièce.
- Oui ? Gilles ? réponds-je en sachant très bien que c’est lui.

J’arrête de m’astiquer le manche et je fais semblant de faire ce que je suis supposé faire, car je suis devant une urinoir. Cependant, il s’approche de moi et je ne peux pas cacher mon érection.

- Tu as tout vu, me dit-il avant même de voir mon sexe bien dur.
- Oui effectivement.

Il avance vers moi et il comprend ce que j’étais en train de faire, car j’ai la bite dans la paume de ma main pointé vers le haut.

- Le mec dans ma voiture était seulement un pauvre type, j’ai du le foutre à l’extérieur car il suçait comme une merde…
- Je ne dirai rien, je vous promets ! Vous pouvez compter sur moi.
- Assurément que tu ne diras rien, car tu vas y goûter toi aussi, et à ce que je vois tu es déjà prêt. D’une certaine façon, on peut dire que tu deviendras mon complice !

Un complice, il parlait de quoi exactement. Nous n’allions pas faire un meurtre tout de même. Il verrouille la porte et me demande de me retourner. Il se met à genoux (je vous rappelle que c’est mon patron ) et prend ma bite entre ses mains. Il commence à me la caresser doucement et ensuite plus rapidement. Il approche ensuite sa bouche de mon pénis et il engloutit la plus grande partie de mon membre. Il encercle ce qui ne peut entrer avec sa main. Il fait entrer mon pénis entre ses lèvres tout en faisant un léger mouvement circulaire. J’adore ce qu’il me fait, à voir la façon dont il caresse ma verge, ce n’est pas la première fois. Ensuite, il descend son slip et me dit que je peux faire ce que je veux. Je n’avais jamais essayé avec un mec, mais j’avais toujours envié mon patron et il est vraiment beau garçon pour son âge, alors pourquoi pas. Je suis tellement bandé que je ne pourrais pas refuser une offre comme celle-ci. Je me questionne alors sur ce que je m’apprête à faire, c’est-à-dire sodomiser un mec, je réalise alors que si je suis toujours célibataire, ce n’est peut-être pas pour rien. Il me dit que je dois tout d’abord l’exciter et lui dilater l’anus. Comme je suis encore nouveau dans le domaine, Gilles m’explique comment. Je lui donne de légers coups de bite sur les fesses et je mets un doigt dans son fion, doucement. Puis, je décide enfin de lui mettre ma bite au cul. Il est voûté et il a les deux mains sur le mur. J’y vais lentement, car j’ai peur de le blesser. Finalement, j’y prends goût assez rapidement et je le tringle de plus en plus fort. Je mets ma main sur sa pine, un peu par curiosité, mais finalement je constate qu’elle est vraiment dure. Je la masse lentement, j’harmonise mes mouvements de bassin avec ceux de ma main. Mon pal entre et ressort rapidement de son anus tout ridé. Je regarde ce mouvement et je dois me retenir pour ne pas éjaculer maintenant. Il gémit tout en me répétant que je peux y aller encore plus fort. J’adore vraiment défoncer l’anus de mon patron…

On frappe à la porte…

- Putain de merde, qu’est-ce que vous faites, ça fait une dizaine de minutes que j’attends pour aller aux chiottes.
- Un instant !
- Si vous ne sortez pas bientôt, je vais défoncer…

Je me retire immédiatement, mais Gilles, me dit de continuer, car il n’a pas encore atteint l’orgasme et sans cela il ne sort pas. J’augmente le rythme de mes mouvements, je ne veux vraiment pas me faire prendre par le mec qui cogne à la porte.

La porte s’ouvre, je ne sais pas de quelle façon, mais une grosse brute entre, tandis que j’ai le pieu enfoncé au plus profond de mon patron… Je n’ose plus bouger et Gilles aussi d’ailleurs, vu la carrure du mec qui vient d’entrer.

- Bordel qu’est-ce que vous osez faire dans mes chiottes ?
- Eh, hum, rien, bien, en fait…
- Vous allez payer sales vicieux !

Nous croyons à l’instant que nous allons avoir la fessée de notre vie. À ma grande surprise. Le mec sort sa bite, elle est gigantesque !

- Hé, toi, le mec en costard, suce ma bite ! dit-il à Gilles avec une voix grave et une teinte d’insolence.
- Oui ! Oui! répond Gilles qui bande encore plus dur.

Il se met devant Gilles qui empoigne fermement sa bite. Il le suce beaucoup plus violemment que moi. Le mec semble en avoir vu beaucoup d’autres mecs baiser dans ses chiottes. Après sa bonne pipe cochonne, il se déplace derrière moi.

- Allez, c’est à mon tour de lui défoncer le cul, laisse faire les grands…

Je me retire aussitôt et je retourne vers Gilles, qui se mordille les lèvres de bonheur et d’excitation, il agrippe ma queue et la remet dans sa bouche. Je me retire, car je ne peux plus me retenir et je ne veux quand même pas gicler dans la bouche de mon patron… Les mecs terminent leur baise tandis que moi je sors de la pièce.

Je n’ose pas me sauver, mais je ne veux pas nécessairement discuter avec Gilles. Je l’attends à l’extérieur et lorsqu’il sort, il ne fait que me donner une tape sur l’épaule.

- Tu sais tu n’es pas le premier employé que je baise… Mais disons que depuis ton prédécesseur, il n’y a eu personne. Alors maintenant tu auras des formations à tous les mois. Félicitations, tu deviens mon protégé.

Je ne suis pas certain de comprendre ce qu’il veut dire par protégé…

Par chance59 - Publié dans : Les secrets entre mecs - Communauté : Mes Récits Hérotiques
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mercredi 10 mars 3 10 /03 /Mars 15:34

Je dormais chez un de mes meilleurs amis, un samedi soir. Nous avions passé une soirée très agréable, et voilà que nous décidions d'aller nous coucher. Nous étions tous les deux hétéros ; du moins c'est ce que nous croyions. Nous décidâmes de dormir dans le même lit, étant donné que c'était un lit deux places. Ses parents dormaient dans la chambre en dessous, mais à cette heure avancée, ils étaient profondément endormis.


Mon ami éteignit la lumière. Au bout de 5 minutes, je commençai à être excité par le fait de dormir à côté d'un autre garçon en caleçon. Je me mis à avoir une érection assez forte. Je décidai de caresser accidentellement sa jambe, pour voir sa réaction. Le contact de nos deux peaux fut très excitant mais il ne bougeait pas. Je décidai de recommencer, de le caresser du pied, et, à ma grande surprise il fit de même. Nous entrelaçâmes nos pieds pendant plusieurs secondes. N'en pouvant plus, je décidai d'aller sous la couverture ; je touchai son sexe : énorme. Ne faisant ni une, ni deux, je baissai son caleçon et engouffrai son gros sexe dans ma bouche. Quel plaisir !


Je me délectais de son gland, le caressant de ma langue, léchant les moindres recoins de son pénis. Je montais et descendais le long de sa belle queue, et l'entendre gémir me donnait de la confiance. Je décidai de lui lécher les tétons, puis de l'embrasser à pleine bouche. J'étais tellement excité ! Je redescendis le long de son corps et pris sa queue à pleine bouche. C'était si bon. Puis je me mis sur le dos, et n'ayant pas de lubrifiant, je décidai d'appliquer ma salive sur mon anus ; il fit de même sur son sexe.


Doucement, il me pénétra, et même si cela me faisait mal, l'excitation était telle que j'en retirai énormément de plaisir. Sentir son gros sexe en moi était merveilleux. Il n'y allait pas vraiment mollo, et j'aimais ça. Il finit par jouir, et je reçus tout son sperme dans mon anus, une sensation indescriptible. Je venais de me faire baiser par un mec. Et j'avais adoré ça.


Depuis j'ai appris à baiser les mecs et le dernier que j'ai rencontré m'a semblé être le bon, le prince quoi ! La nuit dernière, nous avons baisé comme des dieux, je crois. Pendant que nos bouches se collaient l'une sur l'autre, ma main lentement, imperceptiblement, déboutonnait son pantalon, se glissait dans l'ouverture, écartait la chemise, s'emparait de son phallus raide et brûlant. Douce comme la main experte d'une courtisane, son simple contact me faisait pâmer. Sa main suivit, un peu hésitante, l'exemple de la mienne, et je dois confesser que le plaisir que j'éprouvais à manier sa verge était délicieux.


Nos doigts effleuraient à peine notre pénis, que dans la tension excessive de nos nerfs et le degré de notre excitation, l'engorgement de nos conduits séminaux les fit déborder. Pendant un moment, une violente douleur le saisit vers la racine de la verge ou plutôt à l'intérieur des reins, après quoi la sève de vie commença à couler lentement des glandes séminales, elle monta au bulbe de l'urètre, le long de l'étroite colonne, comme du mercure dans le tube du thermomètre. Elle atteignit le sommet, la fente s'ouvrit, les petites lèvres se séparèrent et la crème visqueuse jaillit, non pas en un jet violent mais par saccades, en grosses larmes brûlantes.


À chaque goutte qui s'échappait, une sensation indescriptible, insoutenable, se produisait au bout de ses doigts, à l'extrémité des pieds, dans les plus profondes cellules du cerveau, celles du sang et celles des fibres nerveuses, se rencontrèrent dans le phallus, instrument de muscles et d'artères, un terrible choc se produisit, une convulsion, jouissance que chacun de nous a ressenti plus ou moins violemment.


Serrés l'un contre l'autre, tout ce que nous pouvions faire était d'essayer d'étouffer nos soupirs pendant que le nectar s'échappait. Nous sortîmes épuisés de la chambre, mais à peine la porte refermée sur nous, nous recommençâmes à nous baiser et à nous caresser avec une certaine ardeur, impuissants à refréner nos désirs. Il m'embrassa tendrement.






Par chance59 - Publié dans : Lives/Dials - Communauté : Fier d etre gay
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mercredi 10 mars 3 10 /03 /Mars 15:29
HARD SODO SOUS LA PLUIE

Salut les mecs ! Il faut à tour prix que je vous raconte l’une de mes dernières sauteries. C’était génial et plutôt hard. Deux mots sur moi avant de commencer. Je m’appelle Christophe mais pour mes potes, je suis Chris. J’ai 26 balais, j’habite à Bordeaux et je bosse comme serveur dans un restaurant assez clean. Je suis brun, mignon, assez bien foutu, 1 mètre 81 pour 74 kilos avec une belle teub épaisse entre les cuisses. Courte mais large ( 17 cm x 6 cm ). J’ai de belles couilles et j’ai besoin de me les vider tous les jours.


Je baise avec des keums depuis l’âge de 18 ans. Je suis actif et j’adore me faire des petits culs bien serrés. À Bordeaux, ça ne manque pas… J’aime les plans directs avec des types pas coincés et au look viril. Je peux être très vicieux, dominateur même. Question trips, je n’ai pas de tabou et quand je tombe sur une bonne salope qui est branchée à mort sur le cul, c’est le pied ! Les présentations faites, je vais maintenant vous parler de cette super baise. C’était, il y a deux semaines. J’étais en congé et je suis allé passer quelques jours chez mes parents qui habitent près de Berjerac, en Dordogne. Ils ne savent pas trop la vie que je mène. Ma mère s’en doute un peu, je crois, mais lorsque je suis là-bas, je reste très discret sur ma vie privée et je me contente de me branler discrètement dans ma chambre. Je ne me sens pas encore le courage de faire mon coming-out. Un jour, peut-être…


Lors de mon dernier séjour en Dordogne, je n’ai pas pu m’empêcher de prendre ma moto et d’aller à Bergerac pour tenter de trouver un mec à tirer. J’avais pas baisé depuis quatre jours et je me tenais une sacrée gaule. Je me serais enfilé le premier type venu. Gros, vieux, moche… N’importe qui du moment qu’il ait un cul avec une bite et une paire de couilles par-devant... C’était en plein après-midi, au milieu de la semaine. Le temps était couvert et je suis allé dans un premier bar. Je n’ai trouvé personne. J’en ai fait un second et là, j’ai tout de suite repéré un joli petit cul moulé dans un jean serré. Le mec faisait une partie de flipper. Visiblement, il était seul et la vision de sa belle croupe n’a fait que renforcer mon envie de me taper quelqu’un.


J’ai commandé un demi et je suis allé le brancher. Il avait à peu près mon âge : brun, mignon de gueule, tout à fait mon genre. Je l’ai regardé jouer tout en discutant avec lui. Et là, j’ai vite senti qu’il était homo. On s’est amusé un petit moment à : "Je te cherche, tu me cherches… " jusqu’à ce que je lui propose un petit tour sur ma bécane. On n’est pas allé très loin. À la sortie de Bergerac, j’ai pris le premier sentier qui s’éloignait de la route pour se perdre dans la forêt. Manque de bol, c’est là qu’il a commencé à pleuvoir, une pluie fine alors que le temps était très doux.


Je ne pouvais pas le ramener chez mes parents et lui non plus, n’avait pas de piaule à lui pour m’accueillir. Alors, nous sommes restés sous la pluie. Il s’appelait Thibaut et c’est lui qui a commencé à m’embrasser. Je le sentais aussi excité que moi. Quand je lui ai demandé :

- Tu te trouves souvent, dans le coin ?

Il m’a répondu :

- C’est plutôt rare.

Sa pine était déjà hyper raide sous son froc. Je l’ai palpée un moment, à travers sa braguette et j’ai fini par lui mettre le zob et les couilles à l’air. J’ai continué à bien le palucher alors que Thibault restait accroché comme une sangsue à mes lèvres, me roulant pelle sur pelle. À présent, nous avions les cheveux trempés mais il ne faisait pas froid. J’ai pris sa main pour qu’il libère ma queue puis j’ai appuyé sur ses épaules pour qu’il s’agenouille devant moi et me pompe. Finalement, c’était délicieux de se faire sucer le nœud sous cette pluie fine.


Thibault malaxait mes burnes tout en avalant mon gourdin. Il était doué pour les pipes et moi, l’excitation montant de plus en plus, j’ai commencé à perdre la tête. Je l’ai insulté :

- Oui, suce-la bien, salope. Après ta bouche, c’est ton cul que je troncherai. Je vais te bourrer comme une vraie garce ! Comme une grosse pute ! Hein, que t’es une vraie putain à mecs ?

Je lui donnais des ordres, l’obligeant à me bouffer les couilles et à bien s’appliquer. Il pleuvait un peu plus fort quand j’ai baissé mon cuir à mi-cuisses et que je lui ai présenté mon trou du cul en écartant bien mes fesses avec mes mains. J’adore me faire titiller le fion par une langue vicieuse. Thibault m’a léché dans toute la raie avant de pointer sa langue sur ma rosette. Je lui ai demandé de me laver le cul en profondeur et ce salaud me poussait à me montrer encore plus cru avec lui. Je l’ai traitée de pouffiasse, de truie, de trou à bite, de sac à foutre…


Au bout d’un moment, j’ai voulu l’enculer. Il a descendu son jean jusqu’aux chevilles et il s’est mis à quatre pattes dans l’herbe mouillée et boueuse, creusant ses reins comme une vraie femelle en rut qui attend pour être saillie. Je ne l’ai pas tout de suite enfilé. J’ai caressé et claquer ses fesses musclées, j’ai ouvert son fion avec mes doigts, j’ai tiré sur ses couilles… Voir son trou du cul entièrement offert avec la rosette brunâtre et plissée, entourée de quelques poils noirs, me faisait triquer comme un âne. En fouettant sa raie avec ma pine, je lui ai lancé :

- Tu vas voir, je vais bien te la niquer, ta chatte de mec !

J’ai approché le bout de ma tige de son trou et j’ai essayé de l’emmancher. Thibault s’est mis à gémir :

- Hey ! Doucement, tu me fais mal… Elle est très grosse !

En même temps que j’avançais dans son cul, je le sentais forcer avec son cul pour mieux me l’ouvrir. Il a poussé un cri au passage du gland. Je me suis arrêté et j’ai attendu que sa rondelle soit plus dilatée pour m’enfoncer encore. Je lui tenais les miches bien écartées pour regarder ma tige lui élargir le fion. Je me suis introduit à fond et je l’ai enculé avec des va-et-vient assez lents pour débuter. Je ressortais jusqu’à l’extrémité du gland avant de revenir jusqu’à la garde. Son fourreau comprimait bien ma tige sur toute sa longueur. Thibault ne cherchait pas à retenir ses cris de plaisir et de douleur mêlés. Par moments, il me suppliait d’y aller doucement mais à d’autres, il m’encourageait à le baiser encore plus fort :

- Oui, vas-y ! Défonce-moi le cul. C’est tellement bon !

Et il se mettait à remuer des hanches pour accompagner mes coups de reins. J’étais hors de moi. Me farcir ce joli cul dans la boue me mettait une trique d’enfer. Thibault en avait de partout. Je l’ai limé de toutes mes forces, l’obligeant à s’étendre de tout son long sur le sol. Je lui criais :

- T’aimes ça hein, salopard, te faire piner comme une pute. Dis-le que tu n’es qu’une grosse putasse.

Et il me répondait sur le même ton :

- Oui, je suis une vraie putain. Une salope…

Cette fois, il pleuvait à torrents sur nous. J’ai donné encore quelques coups de reins et j’ai explosé. Ca faisait un bien fou de jouir et de se vider les couilles. Thibault n’a pas joui avec moi. Il a attendu que je finisse et il s’est remis à quatre pattes alors que j’étais encore planté entre ses fesses. J’ai glissé une main entre ses cuisses et je l’ai branlé pendant qu’il bougeait sur mon pieu encore raide et s’enculait tout seul jusqu’à ce qu’il jute à son tour. Nous étions vraiment crades et couverts de boue quand nous avons repris ma moto. Avant de rentrer chez moi, je suis allé nettoyer un peu mes fringues dans les chiottes d’un bar et désormais, quand j’irai revoir mes parents, je sais où trouver un mec à baiser. Ça, c’est plutôt sympa surtout que ce Thibault en question, c’est vraiment un très bon coup.







Par chance59 - Publié dans : Ma Lettre Gay - Communauté : Dialogue soft, Sexe, Hard & Sm
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Jeudi 4 mars 4 04 /03 /Mars 13:02

Il était content de revoir son pote qui s'était enrôlé dans l'armée. À son départ, le mec était hétéro, mais depuis les défonces anales qu'il a reçues des autres soldats, il ne pense qu'à se farcir des mecs, les femmes c'est fini. C'est dans la ruelle du bar que le militaire va défoncer la rosette de son copain, la tentation était trop forte à voir ce joli petit cul bien ferme...

Le mec hyper musclé invite son pote à passer par chez lui après le boulot. Dès son arrivée, il lui offre une bière, mais son copain la refuse, car ce qu'il veut c'est une baise bien chaude, étant donné qu'il est déjà triqué comme un roi prêt à lui éclater les fesses. Par contre, c'est à tour de rôle qu'ils se feront des pipes et qu'ils pénétreront l'autre. Jouissance assurée!

Ce cuisinier espagnol est le rêve incarné de toutes ses copines qui le croient hétéro... Évidemment, il préfère les mecs, notamment ce monsieur muscles un peu bêta qui adore lui foutre sa verge entre les fesses. Mais c'est de bonne guerre car notre cuisinier à la gueule de Zorro aime également lui enfoncer son épée de chair dans le fion... Sodo mutuelle et éjac. copieuse pour ces latins en feu.

Dans un pub de mecs, deux étalons latinos se butinent du regard jusqu'à ce que l'un d'eux invite l'autre pour une petite virée dans les chiottes. Ben voyons ! Pas question de refuser une sodo à l'impro et voilà que nos deux coquins se dévoilent chibre et fion pour s'éclater un maximum... Pipes, sodo et éjaculations onctueuses suivent ensuite ces préludes au festin !

Deux étudiants se retrouvent entre deux cours pour regarder un porno et se branler. La vue du chibre bien ferme de son copain donne envie au plus vieux de lui faire une bonne fellation comme il les aime. Tandis qu'il a la bite en bouche, il dirige son doigt vers l'anus chaud de son pote. Le voilà qu'il se retrouve l'anus en bouche et la bite en main. Cette pause se termine en sodomie extrême !

 Ce splendide cow-boy est à la recherche d'une monture frémissante de désir et de sexe bien cochon. Il la trouve rapidement, incarné par son colocataire, curieux de connaître les plaisirs du cul entre mecs. Et hop ! C'est parti ! Le valeureux cow-boy excite son copain et après une séance de fellation bien coquine, notre Lucky Luke de la sodo s'en donne à coeur joie dans le fion de son ami !
























Par chance59 - Publié dans : Gay - Communauté : Queue du Cus
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Jeudi 4 mars 4 04 /03 /Mars 12:53

Orifices satisfaits

L‘histoire : 3 types se rejoignent à l'hôtel pour une nuit de sexe brûlant. Aussitôt, le puceau du groupe s'empare de la queue de ses 2 amants pour les pomper. Pendant qu'il reçoit une bite dans le cul, un des mecs s'écarte les cuisses pour que le débutant puisse lui lécher les bourses à souhait ! Les 2 mecs se relayent dans son cul et font toutes les positions du kamasutra avant de se vider dans sa bouche.
Un fils à papa se fait déchirer les entrailles...


L‘histoire : Ah le joli blondinet !! Hyper chiant, fils à papa jusqu'au trognon, ce bel adonis se la joue grave devant le copain de sa soeurette. Lorsque le beau brun décide enfin de lui faire ravaler sa prétention et l'entraîne dans le sexe hard et homo. Et voilà que le blond suce à merveille, qu'il a la bouche comme un aspirateur et le fond du cul comme une barrette de beurre bien molle et bien chaude...

Il veut une sodomie profonde pour son anniversaire


L‘histoire : Un mec se fait offrir quelques présents pour son anniversaire mais ce qu'il veut vraiment, c'est que son hôte l'encule à fond. Le cow-boy accepte avec joie
tout en enlevant ses fringues dans une danse fort sensuelle. Après s'être taillés une pipe, les mecs s'enfoncent la bite dans le cul à tour de rôle, directement sur la table de la salle à manger. Matez un peu le jus qui va couler...

Deux amis s'offrent des pipes goulues et une baise bien hard


L‘histoire : Un type bien baraqué mais surtout bien membré tente d'avoir une petite récompense pour avoir déménagé le meuble de son ami. Il embrasse donc le minet qui se met tout de suite en quête de sa teub. Il le suce férocement avant que ce dernier ne le retourne pour l'enfiler solidement. Le géant explore son pote à fond, cette bouche de pompeur et ce trou serré fait pour être défoncé !

Le lendemain d'une super boom, deux mecs se baisent dans la cuisine.


L‘histoire : Le lendemain d'une super boom, le mec tente de ranger tout le fouillis de la veille. Son coloc arrive et lui dit qu'il mérite bien une pause et pour le convaincre, il lui sort sa grosse queue. Les deux hommes aspirent la bite de l'autre à tour de rôle. Ensuite, les assiettes se tassent pour faire plus d'espace pour une bonne baise dans la cuisine... Pervers ces types !

Un plombier tente le coup avec un mec en rut !


L‘histoire : Un plombier qui n’a pas baisé depuis des semaines se trouve un mec en rut qui lui offre sa croupe pour se soulager les burnes. Il n’a jamais tenté le coup avec un homme, mais comme il le suce comme un expert, il accepte l’offre. Il lui dilate l’anus à l’aide de sa langue pour que son tuyau glisse mieux dans sa niche. Enfin, les deux loustics surexcités se déchargent sur le ventre.



Par chance59 - Publié dans : Gay - Communauté : lascars chauds
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Vendredi 19 février 5 19 /02 /Fév 08:43
Page photos

Voici la continuité de nos galeries photos ! On y trouve Rachid (pour qui la douche est un puissant aphrodisiaque), Michel, lors de sa toute première séance photos (qui fut couronnée de succès comme tu peux le voir), moi-même partageant mes techniques pour parvenir à un orgasme juteux et enfin, nos deux grands gaillards, Louis et J-F, qui nous font la démonstration de leur talent particulier dans le domaine passionnant de l'auto-fellation et de la défonce anale !


Séance sous la douche de Rachid
Séance initiative de Michel
Cours d'auto-fellation 101 par Alexandre
Louis + J-F se font une petite fête intime
Par chance59 - Publié dans : Les secrets entre mecs - Communauté : Baise
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Vendredi 19 février 5 19 /02 /Fév 08:33

Acrobate de la queue, voici ton site !

Nous sommes 4 amis, tous réunis sous un même fantasme ! Nous nous rencontrons régulièrement pour un dîner entre copains mais toujours dans le but de pratiquer des exploits affolants. Nos vidéos, photos, histoires et anecdotes palpitantes renferment tous nos fantasmes d'auto-fellation et bien davantage ! Allumeurs et provocateurs dans l'âme, nous sommes fiers de te présenter ce site amateur conçu spécialement pour toi, le mateur !


Rachid : le style et le savoir faire porte maintenant un nom ! Michel : curieux de nous voir faire, voici ca première séance avec nous. Alexandre : Notre maitre à tous, celui qui a eu l'idée de ce site Louis + JF : Louis + J-F se font une petite fête intime.

Tu ne te lasseras jamais de nous voir nous auto-sucer !

Pour le plaisir de tes yeux, nous tentons de toujours surpasser nos limites sexuelles, en solo ou en groupe. En plus de la tonne de contenu déjà disponible sur le site, nous en ajoutons toujours plus, au fur et à mesure que nous expérimentons nos fantasmes ! Accompagne-nous dans nos plus folles paillardises, expérimente nos positions les plus osées et laisse-toi enfin aller à ton fantasme le plus dingue. Bon appétit !

Par chance59 - Publié dans : Les secrets entre mecs - Communauté : Baise
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Vendredi 19 février 5 19 /02 /Fév 08:28


Si comme Certain, vous aimez les pieds au point que cela en devient une obsession, et bien Pieds-Gay est l'endroit où vous vous sentirez comme chez vous.

Ce club de pieds-gay s'est fondé par lui-même, au fil du temps. Plusieurs amateurs de pieds se sont exposés aux projecteurs afin de vous faire vivre ce fétiche extraordinairement bandant ! Sur notre site, vous aurez l'occasion de mater des pénétrations anales et des branlettes avec les pieds. Entrez donc de pied ferme dans le paradis des pieds-gay, toutes les histoires, photos et vidéos fétiches sont à l'honneur ! Osez vos fantasmes les plus fous, rejoignez le club maintenant !

(18 Février) Ma première pénétration anale avec un pied

Heureusement que mon corps ne se limite pas à la branlette manuelle, le sexe serait d'un ennui mortel ! La plupart du temps, j'utilise mes pieds pour me masturber ou pour dilater le cul de mes amants ! Certains d'entre eux vont plus loin en me pénétrant carrément de leurs orteils. La sensation est ahurissante, je bande à chaque fois. Alors, que vous soyez soft ou hard, mon blog risque de vous intéresser puisque je parle de ma passion sans aucun tabou !



Par chance59 - Publié dans : Les secrets entre mecs - Communauté : Sexy
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Vendredi 19 février 5 19 /02 /Fév 07:53
 

Chaque mois, des-minets sélectionne vos mecs favoris, les gays les plus sexy du net et les mieux cotés par les internautes à travers le monde : vous ! Visionnez la vidéo pour mater nos plus beaux modèles de la porno gay en action !!!
      
Pour ceux qui rêvent de mater les plus beaux mecs du net en pleine action, ces vidéos vous en promettent ! Des mecs en chaleur qui ne vous laisseront pas de glace... Entrez

      
 Posté le : Jeudi 18 Février 2010    |  Dans la sueur des mecs !  |   Par Benjamin

J'adore tout ce qui est plan vestiaire, odeur de sueur et partouze entre mecs virils et sportifs. C'est à la fois un plaisir physique et cérébral. Chez moi, cela frise le fétichisme. Avant d'être sûr de mon homosexualité, j'aimais déjà ces moments où je retrouvais des mecs dans les vestiaires du lycée ou dans ceux du club de foot. Puis, j'ai su que j'étais fait pour les mecs et là, j'ai ressenti une réelle et intense excitation en découvrant une bite, un cul, les poils du pubis ou des corps nus dans ces vestiaires. J'avais dix-huit ans pour ma première pipe. Elle s'est déroulée dans les vestiaires d'un club de tennis et avec la bite de l'un de mes meilleurs copains. J'ai commencé comme passif et suceur de queues. À présent, je reste bon pompeur de bites mais je suis surtout un enculeur vicieux et endurant qui s'éclate en défonçant des culs.
Par chance59 - Publié dans : Les secrets entre mecs - Communauté : Baise
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Présentation

Créer un Blog

Mes Muvee...

Calendrier

Mai 2024
L M M J V S D
    1 2 3 4 5
6 7 8 9 10 11 12
13 14 15 16 17 18 19
20 21 22 23 24 25 26
27 28 29 30 31    
<< < > >>
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés